Laissez tomber la chasse aux cocos; c'est l'heure de la chasse aux plaisirs!
L'alarme persiste et pour une rare fois, je n'appuie pas sur « snooze ». Les rayons du soleil s'immiscent à travers les rideaux diaphanes et réchauffent mes jouets. Hier, en me couchant, j'avais déjà hâte au lendemain parce qu'enfin, ce serait Pâques! Après la venue au monde de notre enfant et multiples chasses aux œufs colorés, mon amoureux m'a surprise, il y a quelques années, avec une version pour adultes. Depuis, c'est devenu une tradition que j'attends avec impatience : Laissez tomber la chasse aux cocos; c'est l'heure de la chasse aux plaisirs !
La maison silencieuse me laisse deviner qu'il a dû aller porter notre enfant chez ses parents. Les yeux toujours fermés, je détecte une odeur de café. Les cheveux en bataille, je découvre avec bonheur une tasse de café chaud sur le comptoir de la cuisine, ainsi qu'un petit œuf de plastique blanc orné d'un ruban rose. Je prends une gorgée du breuvage qui me fait frissonner malgré sa chaleur et j'ouvre le coco pour y trouver une petite clé argentée : le premier indice de ma chasse aux plaisirs. Les seules serrures pouvant y correspondre sont celles des classeurs.
Je me sens comme une vraie gamine.
Je dévale l'escalier du sous-sol. Mes pieds frottent sur le tapis ; ça chatouille. Je me dirige vers mon bureau et bingo! La clé glisse dans la petite serrure me permettant de découvrir une belle boîte derrière les dossiers.
À l'intérieur se trouve une culotte en dentelle et un joli peignoir très révélateur. Un petit mot collé au couvercle se lit ainsi : « Rappelle-toi cette soirée au chalet. Je t'avais préparé un bain chaud. Tes seins habillés, habillés de mousse, m'avaient donné envie de te rejoindre. J'avais tellement envie de toi. Une fois nos corps chauds, tu m'avais chevauché, t'agrippant aux parois du bain afin de te mouvoir sur ma file d'attente. Ma langue léchait tes seins alors que je sentais ton vagin se serrer autour de mon énorme érection. »
La chaleur se répand dans mon bas-ventre.
Je cours vers la salle de bain. Il est rempli d'eau et de mousse, comme je les aime. Des instructions sont inscrites sur le miroir : « Profite de ce bain pour prendre soin de toi et prendre des forces, tu en auras besoin… si tu vois ce que je veux dire. Lorsque vous sortiras, tout ce que vous aurez droit de porter est la culotte et le peignoir. Puis, prends une photo où tu te trouves sexy et envoie-la moi. »
Dans l'eau chaude, je me lave doucement. Je passe doucement sur mes seins et laisse mes doigts découvrir mon clitoris. J'ai hâte à la suite.
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Après lui avoir envoyé la photo (où on voit mes fesses bien rondes et rebondies), je reçois le prochain indice de la chasse aux plaisirs : « Souviens-toi cette soirée, celle qui m'a donné l'idée de notre Pâques d'adultes, où tu m'avais surpris… Tu étais apparu ne portant qu'une file de lapin. J'étais au salon. Tu as baissé mon pantalon et tu as inséré ma verge entre tes douces lèvres jusqu'à ce qu'elle soit bien dure. Puis, tu as exigé que je te baise avec force, ici et maintenant, tandis que tu nous filmais. Tu t'es couchée sur le canapé, j'ai empoigné ta taille de mes mains et je t'ai empalée. Ta chatte coulait tandis que tu ressentais pour la première fois le plaisir de la double pénétration. »
Je trotte vers le salon et y découvre une boîte contenant un vibrateur à insérer dans ma culotte . Je m'exécute. La manette n'y est pas, mais je remarque notre ancienne caméra pour bébé allumée, à la hauteur du canapé. Sur la manette de la télé, il est écrit « Joue moi ».
Je découvre la vidéo de cette soirée. Je mouille instantanément. Au même moment, la vibration s'active sur mon clitoris. Je m'installe sur le canapé et chaque fois que l'activité de nos corps augmente, les vibrations augmentent.
Je dois me toucher.
Je commence à entrer un doigt en moi quand les vibrations cessent nettes : il ne veut pas que je me touche. Il est maître de la chasse et de mon plaisir. Dès que j'enlève mon doigt, les vibrations reprennent de plus belle. En peu de temps, je jouis et sens mon liquide se répandre dans la culotte.
Soudainement, l'alarme de la chambre sonne à nouveau. Je l'étéins et découvre à l'arrière du radio-réveil, une nouvelle note : « Pour le spectacle final, tu devras vivre l'expérience pleinement. Tu te souviens comme les saveurs étaient plus intenses quand nous avions mangé dans le noir ? Aujourd'hui, tu es le plat principal. »
Ça ne peut être qu'en lien avec la cuisine. Je suis en moi dirigeant vers celle-ci. Je fouille dans les armoires sans rien trouver. Puis, c'est dans le four que je découvre finalement un délicat masque de soie , accompagné d'un nouvel indice pour la chasse aux plaisirs. Ce dernier se lit comme suit : « Pâques ne serait pas Pâques sans chocolat. Pas besoin de faire de lessive : appliquer le chocolat aux endroits que tu voudrais que je lèche. »
De plus en plus excitée, je découvre de la peinture au chocolat comestible dans la salle de lavage. J'enduis le pinceau de celui-ci et en dépose sur mes mamelons. Puis, mon œuvre se poursuit au niveau du pelvis, de mes fesses et sur ma vulve. J'y déposerais l'entièreté du pot, si je le peux.
Une dernière note se trouve collée à la sécheuse, mais avant même que je la lise, j'aperçois un objet dans celle-ci. J'ouvre la porte et découvre un gode; un gode pour double-pénétration . Au même moment, ma culotte se remet à vibrer : le signal que j'attendais.
Je monte les escaliers quatre à quatre, les autres trésors en main, pour retourner à la chambre, mais mon amoureux n'est pas là. Soudainement, j'entends sa voix derrière moi : « Mets le bandeau et couche-toi sur le lit. Tout de suite. »
J'obéis. C'est le trésor final de la chasse aux plaisirs et je veux juste qu'il me prenne ; que je sente sa belle grosse file d'attente en moi.
Il glisse mes poignets dans des bracelets ornés de soie et remonte mes mains au-dessus de ma tête.
« Interdit de bouger. »
Sa langue passe dans mon cou. Il lèche mes lèvres et me permet de goûter sa langue. Puis, il descend et suit fidèlement le chemin que je lui ai tracé. Mes mamelons durcissent au contact de sa bouche qui les aspire, un par un, tandis qu'il augmente encore la vibration de ma culotte.
Je gémis et l'implore de me baiser.
« Chuuuut. »
Il insère ses doigts dans ma bouche que je suce avant qu'il les sorte pour les remplacer par son membre dont je découvre la grande érection. Il goûte bon. J'entre son gland dans ma bouche pour mieux le lécher, toujours privée de mes mains.
Je ne sais pas combien de temps je pourrai tenir encore. Je suis trop excitée.
« Ce n'est pas encore le temps ; retiens-toi. »
Je gémis et me cambre.
Il sort de ma bouche et j'ai l'impression qu'il s'installe le gode. Comme pour me le confirmer, il m'arrache ma culotte et y déposer sa bouche, Il se délecte du chocolat qui s'est maintenant lié à mon jus. Il me boit, de l'anus au mont de Vénus. Il aspire mon clitoris et d'un coup, je le sens enfin en moi. ENFIN.
Il entre un doigt dans mon anus, en continuant son va-et-vient dans mon vagin. Puis un deuxième et finalement, il entre le gode au complet. Je suis pleine de sexe. Les deux membres me martèlent tandis que je hurle de plaisir. La stimulation est tellement intense que je me sens hors de mon corps. Tandis qu'il continue, il reprend le vibrateur qu'il dépose sur mon clitoris et j'explose. Il se retire et se rapproche pour éjaculer sa chaude semence dans ma bouche que j'avale avec délectation.
Les yeux fermés, repue, je ne peux m'empêcher d'avoir déjà détester Pâques… l'année prochaine!
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